Aller plus loin sur la toile


Lieu d’accueil pour réfugiées, famille qui s’occupe de plusieurs personnes âgées, yourte, village utopiste ou squat... Autant d’espaces que des femmes construisent pour que d’autres femmes ou elles-mêmes puissent se sentir chez elles.
Du 1er juillet au 31 août, retrouvez sur le web ces articles à lire ou
à relire !


Les Maximiliennes. Solidaires des réfugiées
Quai de Willebroek, à Bruxelles, dans une petite pièce du « Hall Maximilien » accueillant la Plateforme citoyenne de soutien aux réfugiés, des femmes entre elles peuvent se reposer, boire une tasse de thé, dialoguer. Les bénévoles des « Maximiliennes » ont créé ce lieu parce qu’elles sont conscientes des violences spécifiques que les femmes connaissent avant et pendant leur exil. Ce n’est pas forcément le cas des instances d’asile et de migration, qui, selon l’avocate Selma Benkhelifa, ne prennent pas assez en compte la situation spécifique des femmes dans leurs procédures.
Véronique Laurent, axelle 187, mars 2016, pp. 17-22. Lire

Aînées en famille d’accueil
La photographe française Vinciane Jacquet a posé son appareil chez Danièle, une accueillante familiale qui prend soin de trois aînées. axelle a eu un coup de cÅ“ur pour ce travail, au plus proche des liens qui unissent deux générations de femmes.
Vinciane Jacquet, axelle 186, février 2016, pp. 25-27. Lire

La retraite des « sorcières »
À Ouagadougou, capitale du Burkina Faso, deux centres accueillent des femmes âgées accusées d’avoir « mangé l’âme » d’un habitant mort accidentellement, puis bannies de leur village. Entre elles, elles reprennent goût à la vie.
Caroline Lefebvre, axelle 183, novembre 2015, pp. 10-13. Lire

Sylvie Barbe, pionnière des yourtes
Il y a vingt ans, la Française Sylvie Barbe quittait la ville pour échapper à une vie qui ne l’avait pas épargnée. Mariée, divorcée, confrontée ensuite aux violences conjugales, elle a vite su qu’elle ne pourrait compter que sur elle-même et sur les solidarités alternatives. À 39 ans, Sylvie Barbe prenait donc ses quartiers dans une yourte au cÅ“ur de la campagne du Gard. Depuis son habitat insolite, elle accompagne des femmes désireuses, comme elle, de changer de vie.
Célia Prot, axelle 182, octobre 2015, pp. 24-25. Lire

Femmes de Boue, femmes debout !
Deux collectifs de femmes proposent des chantiers de construction naturelle vraiment pas conventionnels ! Conquise par leur enthousiasme sans égal, axelle s’est entretenue avec Mélisande Chagnon, du collectif canadien des Mud Girls, et avec Nydia Solis, cofondatrice du collectif français Femmes de Boue.
La bricoleuse, axelle HS, juillet-août 2015, pp. 41-43. Lire

Berlinoises des champs
Depuis deux décennies, Giseltraut Sabeh, 61 ans, défend l’agriculture biologique dans la petite ferme qu’elle a fondée à Blumberg, aux confins de la capitale allemande. Ses légumes oubliés et ses herbes sauvages poussent au rythme des saisons, bichonnés par les mains expertes des cultivatrices. Reportage.
Annabelle Georgen, axelle 176, février 2015, pp. 22-23. Lire

L’utopie du haut de la colline
Au cÅ“ur d’un des pays les plus pauvres du monde, l’Éthiopie, un village bouscule les règles qui reÌ gissent la socieÌ té. Depuis quarante ans, les membres de la communauté d’Awra Amba ont abandonné droit coutumier et patriarcat pour faire des femmes les égales des hommes. Découverte d’une utopie bien réelle.
Daphnée Breytenbach et Ismaël Mereghetti, axelle 174, décembre 2014, pp. 10-13. Lire

Womanhouse, du féminisme à tous les étages
Womanhouse, c’est une « Maison des femmes » éphémère, qui n’a duré que le temps d’un hiver, mais qui a marqué toute une génération d’artistes féministes et plus généralement, l’histoire de l’art.
Irène Kaufer, avec la collaboration de Julie Carlier, axelle HS, juillet-août 2014, pp. 28-30. Lire

Une maison pour se reconstruire
À Berlin, une association interculturelle accueille des femmes d’origine étrangère victimes de violences et les aide à prendre un nouveau départ. Reportage.
Annabelle Georgen, axelle 162, octobre 2013, pp. 32-34. Lire

Les « Libellules » déploient leurs ailes
Chaque semaine, quelques habitantes du parc résidentiel de Froidchapelle, appelées « Les Libellules », se retrouvent dans un pavillon communautaire. Autour d’un café et de petits biscuits, elles élaborent des projets pour mieux vivre ensemble au sein du parc et améliorer l’image de ce lieu trop souvent méprisé. Rencontre.
Manon Legrand, axelle HS, juillet-août 2013, pp. 15-17. Lire

Vies de femmes demandeuses d’asile
Plus encore que les hommes, les femmes demandeuses d’asile sont dans des situations précaires. Leur quotidien est difficile et elles se sentent souvent impuissantes, surtout lorsqu’elles sont seules avec leurs enfants. Pourtant, elles tiennent le coup, déterminées. Le livre Transit51, fruit d’un projet né dans le centre d’accueil du Petit-Château à Bruxelles, illustre le quotidien méconnu de ces héroïnes d’aujourd’hui. Elles ont fui leur pays parce qu’elles sont des femmes ; arrivées en Belgique, elles ont demandé l’asile ; en attendant la décision, elles vivent en transit. Ensemble, elles racontent leur histoire, leur lutte pour une vie digne.
Sabine Panet, axelle 160, juin 2013, pp. 23-27. Lire

Des squats féministes pour vivre autrement
Dénoncer les inégalités à partir d’expérimentations sociales urbaines féministes, souligner les dérives et les paradoxes de notre société par la pratique de la radicalité, construire une autre forme de vivre ensemble... Telle est la logique qui pousse certaines femmes à s’approprier des maisons vides. Auteure d’une enquête au sein des squats féministes en France et en Allemagne, la sociologue et chercheuse à l’Université Rabelais de Tours Édith Gaillard nous parle de l’expérience des squatteuses qu’elle a rencontrées.
Marta Marsili, axelle 157, mars 2013, pp. 20-21. Lire


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