Violences faites aux femmes : pourquoi la Police doit jouer son rôle

Etude 2018


En 2016, la Belgique ratifiait la Convention d’Istanbul [1], texte du Conseil de l’Europe qui vise à prévenir et lutter contre toutes les formes de violences à l’égard des femmes. A l’occasion de sa campagne « Brisons l’engrenage infernal » [2] qui a débuté en 2016, Vie Féminine s’est saisi de ce texte comme un outil pour opérer un diagnostic du traitement des violences faites aux femmes en Belgique. La Convention, contraignante, est-elle ou non appliquée sur le terrain ?

Le diagnostic a révélé de nombreux problèmes dans des domaines très divers (logement, accès aux services, à la Justice, droits des femmes migrantes, reconnaissance des violences dans l’application du droit de visite…). Mais parmi ceux-ci, un sujet est ressorti avec force et a généré de nombreux témoignages : l’accueil et le suivi par la Police des femmes victimes de violences. Parce que le traitement inadéquat des violences par la Police révèle de nombreux dysfonctionnements en chaîne dans la lutte contre les violences en Belgique, nous avons choisi d’en faire une étude.

Cette étude propose, sur la base des témoignages, une analyse des formes que prend le mauvais traitement par la Police des violences faites aux femmes, ainsi que ses conséquences. Elle détaille les moyens d’action qui pourraient enrayer ces mauvaises pratiques. L’étude fournit également un éclairage sur la Convention d’Istanbul, dont les dispositions sont obligatoires en Belgique depuis 2016.

L’étude est téléchargeable ici.

Pour obtenir cette étude en version papier, vous pouvez contacter Vie Féminine via :

Prix : 3,00 € membre de Vie Féminine / 5,00 € non-membre + frais d’envoi.



[1D’HOOGHE Vanessa, « 3 choses à savoir sur la Convention d’Istanbul » dans axelle, novembre 2017 :
http://www.axellemag.be/3-choses-a-savoir-convention-distanbul

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